Les 3 phases d’une capsulite rétractile de l’épaule,
chacune phase dure de 4 à 6 mois en moyenne :
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La première phase « prodomique »
Elle correspond à une perte progressive des mobilités de l’épaule et à une aggravation de la douleur d’épaule.
La capsulite rétractile commence souvent après un traumatisme mineur, une luxation de l’épaule, une immobilisation prolongée, un infarctus du myocarde ou des problèmes cervicaux -douleur de nuque-.
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La seconde phase : d’enraidissement
Elle est persistance de la raideur d’épaule avec une atténuation de la douleur.
La capsulite rétractile de l’épaule démarre toujours par une limitation progressive des mouvement de l’épaule douloureuse ou non. En dépassant un certaine mobilité de votre épaule vous ressentez une douleur aiguë. Cette étape est parfois appelé le stade «gel». Cette pathologie progresse ensuite jusqu’à ce que tous les mouvements soient réduis, ou gelée. A ce stade, il est courant de n’avoir aucune douleur.
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La dernière phase
correspond à une amélioration progressive des mobilités articulaire à la normale d’une durée de 12, 18 à 36 mois…
Au cours de la phase de récupération l’épaule devient à nouveau douloureuse mais s’apaisera lorsque le mouvement normal est retrouvé. Cette période de récupération varie en fonction de la durée de votre capsulite rétractile et de sa gravité.
A quelle phase de ma capsulite je peux venir en consultation au cabinet pour la soigner ?
Vous pouvez venir en consultation dès que le diagnostic de capsulite rétractile de l’épaule a été fait par votre médecin traitant ou votre chirurgien.
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Les risques associés à une capsulite rétractile :
La douleur associée à une capsulite rétractile peut entraîner une limitation de l’amplitude ou une immobilisation sélective de l’épaule douloureuse.
Il a été démontré qu’une immobilisation prolongée de l’articulation peut provoquer plusieurs phénomènes physiopathologiques préjudiciables, notamment :
- une diminution de la longueur du collagène,
- une fibrose de la capsule articulaire,
- une atrophie ligamentaire,
- une production aléatoire de collagène,
- un nombre de sarcomère diminué dans le muscle.